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Informations Patients |
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Pour des raisons d'organisation et de sécurité, nous vous prions de bien vouloir suivre les étapes suivantes : 1 Dès que vous connaissez la date de votre hospitalisation, vous devez prendre rendez-vous, le plus tôt possible, auprès du secrétariat des anesthésistes au numéro suivant : 04 37 90 33 02 ou 04 37 90 33 03 2 Le jour de votre rendez-vous, veuillez vous présenter au bureau des entrées situé au niveau 2, accueil de l’Hôpital Privé Natecia Lyon, pour établir votre dossier administratif. 3 Rendez vous à la consultation d'anesthésie (niveau 2) de l’Hôpital Privé Natecia Lyon , muni des documents médicaux suivants : • les résultats des examens sanguins, (carte groupe sanguin, vos ordonnances), Merci de bien vouloir régler la consultation par chèque ou carte bleue. |
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Nombreuses sont les futurs mamans qui se demandent si leur accouchement necessite une péridurale... |
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Mon accouchement, avec ou sans anesthésie ? |
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Ceci est destiné à vous informer sur l’anesthésie, ses avantages et ses risques. Nous vous recomandons de le lire attentivement, afin de pouvoir donner votre consentement à la procédure anesthésique qui vous sera proposée par le médecin anesthésiste-réanimateur. Vous pourrez également poser à ce médecin des questions sur cette procédure. Pour les questions relatives à l’acte qui motive l’anesthésie, il appartient au spécialiste qui réalisera cet acte d’y répondre. |
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Qu’est-ce que l’anesthésie ? L’anesthésie est un ensemble de techniques qui permet la réalisation d’un acte chirurgical, obstétrical ou médical (endoscopie, radiologie…), en supprimant ou en atténuant la douleur. Il existe deux grands types d’anesthésie : l’anesthésie générale et l’anesthésie locorégionale. L’anesthésie générale est un état comparable au sommeil, produit par l’injection de médicaments, par voie intraveineuse et/ou par la respiration de vapeurs anesthésiques, à l’aide d’un dispositif approprié. L’anesthésie locorégionale permet, par différentes techniques, d’anesthésier que la partie de votre corps sur laquelle se déroulera l’opération. |
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Son principe est de bloquer les nerfs de cette région, en injectant à leur proximité un produit anesthésique local. Une anesthésie générale peut être associée ou devenir nécessaire, notamment en cas d’insuffisance de l’anesthésie locorégionale. La rachianesthésie et l’anesthésie péridurale sont deux termes particuliers d’anesthésie locorégionale, où le produit anesthésique est injecté à proximité de la moelle épinière et des nerfs qui sortent de celle-ci. Toute anesthésie, générale ou locorégionale, réalisée pour un acte non urgent, nécessite une consultation, plusieurs jours à l’avance et une visite préanesthésique, la veille ou quelques heures avant l’anesthésie selon les modalités d’hospitalisation.
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Comme l’anesthésie, elles sont effectuées par un médecin anesthésiste-réanimateur. Au cours de la consultation et de la visite préopératoire, vous êtes invité(e) à poser les questions que vous jugerez utile à votre information. Le choix du type d’anesthésie sera déterminé en fonction de l’acte prévu, de votre état de santé et des résultats des examens complémentaires éventuellement prescrits. Le choix final relève de la décision et de la responsabilité du médecin anesthésisteréanimateur qui pratiquera l’anesthésie.
Comment serez-vous surveillé(e) pendant l’anesthésie et à votre réveil ? L’anesthésie, quel que soit son type, se déroule dans une salle équipée d’un matériel adéquat, adapté à votre cas et vérifié avant chaque utilisation. Tout ce qui est en contact avec votre corps est soit à usage unique soit désinfecté ou stérilisé. En fin d’intervention, vous serez conduit(e) dans une salle de surveillance post-interventionnelle (salle de réveil) pour y être surveillé(e) de manière continue avant de regagner votre chambre ou de quitter l’établissement. Durant l’anesthésie et votre passage en salle de surveillance post-interventionnelle, vous serez pris(e) en charge par un personnel infirmier qualifié, sous la responsabilité d’un médecin anesthésiste-réanimateur. Quels sont les risques de l’anesthésie ? Tout acte médical, même conduit avec compétence et dans le respect des données acquises de la science, comporte un risque. Les conditions actuelles de surveillance de l’anesthésie et de la période du réveil permettent de dépister rapidement les anomalies et de les traiter.
Quels sont les inconvénients et les risques de l’anesthésie générale ? |
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Les nausées et les vomissements au réveil sont devenus moins fréquents avec les nouvelles techniques et les nouveaux médicaments. Les accidents liés au passage de vomissements dans les poumons sont très rares si les consignes de jeûne sont bien respectées. Des traumatismes dentaires sont également possibles. C’est pourquoi il est important que vous signaliez tout appareil ou toute fragilité dentaire particulière. Une rougeur douloureuse au niveau de la veine dans laquelle les produits ont été injectés peut s’observer. Elle dispara t en quelques jours.
La position prolongée sur la table d’opération peut entra ner des compressions, exceptionnellement, la paralysie d’un bras ou d’une jambe. Dans la majorité des cas, les choses rentrent dans l’ordre en quelques jours ou quelques semaines. Des troubles passagers de la mémoire ou une baisse des facultés de concentration peuvent survenir dans les heures suivant l’anesthésie. |
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Des complications imprévisibles comportant un risque vital comme une allergie grave, un arrêt cardiaque, une asphyxie, sont extrêmement rares. Pour donner un ordre de grandeur, une complication sérieuse ne survient que sur des centaines de milliers d’anesthésies.
Quels sont les inconvénients et les risques de l’anesthésie locorégionale ? |
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Après une rachianesthésie ou une anesthésie péridurale, des maux de tête peuvent survenir. Ils nécessitent parfois un repos de plusieurs jours et/ou un traitement local spécifique. Une paralysie transitoire de la vessie peut nécessiter la pose temporaire d’une sonde urinaire. Des douleurs au niveau du point de ponction dans le dos sont également possibles. Des démangeaisons passagères peuvent survenir lors de l’utilisation de la morphine ou de ses dérivés. En fonction des médicaments associés, des troubles passagers de la mémoire ou une baisse des facultés de concentration peuvent survenir dans les heures suivant l’anesthésie. |
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Des complications plus graves comme des convulsions, un arrêt cardiaque, une paralysie permanente ou une perte plus ou moins étendue des sensations sont extrêmement rares. Quelques cas sont décrits, alors que des centaines de milliers d’anesthésies de ce type sont réalisées chaque année. |
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S’il existe une probabilité que vous soyez transfusé(e) pendant votre opération, vous recevrez une information spécifique sur les techniques et le risque transfusionnel. |
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La transfusion est indispensable à de très nombreux traitements en médecine et en chirurgie. Chaque année, en France, environ 2 500 000 dons de sang permettent de traiter plusieurs centaines de milliers de malades. Qu'allez-vous recevoir ? . |
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Ils proviennent des dons de donneurs bénévoles. Ils sont rigoureusement contrôlés et répondent à des normes obligatoires de sécurité et de qualité : sélection des donneurs, tests de dépistage sur chaque don, règles pour assurer la qualité sur toute la chaîne du donneur au malade. Le traitement qui vous est proposé est nécessaire à votre état de santé actuel. Votre médecin a bien
* Comme tout traitement, la transfusion comporte des risques. Des réactions sans conséquences graves peuvent survenir pendant et après transfusion, comme de l'urticaire, ou des frissons et de la fièvre, sans cause infectieuse. |
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Les autres risques sont aujourd'hui limités grâce aux mesures déjà prises. Il s'agit :
Le grand nombre de groupes sanguins différents d'une personne à l'autre impose de faire des examens obligatoires avant transfusion pour assurer votre sécurité ; deux déterminations des groupes sanguins (A, B, O, AB et Rhésus) et une recherche d'anticorps irréguliers contre de nombreux groupes.
Une dernière vérification sera effectuée à votre chevet en cas de transfusion de concentrés de globules rouges. Malgré toutes ces précautions, des anticorps irréguliers apparaissent chez certains malades (dans 1 à 5 % des cas généralement). Pour dépister et traiter si nécessaire d'éventuelles complications le plus tôt possible, il est recommandé de surveiller les personnes transfusées. C'est pourquoi, votre médecin va vous proposer des tests de dépistage (du virus du Sida et de l'hépatite C notamment) avant et trois mois après votre transfusion et, suivant votre situation, une recherche d'anticorps irréguliers après transfusion. Dans tous les cas, vous serez informé des résultats d'examens qui auront été effectués. Si un résultat vis-àvis d'un virus se révélait positif, une consultation et des contrôles vous seraient proposés. Si des anticorps irréguliers apparaissaient après votre transfusion, il serait nécessaire de le signaler en cas de nouvelles transfusions, pour votre sécurité.
Aucun cas de maladie de Creutzfeldt Jakob liée à la transfusion n'a été constaté à ce jour, dans le monde. Cependant ce risque théorique ou d'autres aujourd'hui inconnus ne peuvent être exclus. |
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Toutes les mesures, aujourd'hui possibles, de prévention de ces risques théoriques ont été prises, notamment dans la sélection des donneurs de sang et dans la préparation des produits. En outre, une surveillance nationale des incidents de la transfusion a été mise en place depuis 1994 (l'hémovigilance). Les recherches scientifiques sont très suivies. Si cela s'avérait nécessaire, des informations complémentaires vous seraient communiquées. Toutefois, si vous souhaitez obtenir des renseignements complémentaires sur le produit que vous avez reçu, vous pouvez vous adresser au médecin du service où vous avez été transfusé ou à la direction de l'établissement de santé concerné.. |
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Conservez les documents que vous allez recevoir. Un document écrit comportant la date de votre transfusion, l'établissement et le service où vous avez été transfusé(e), le type et le nombre des produits sanguins labiles que vous avez reçus vous sera remis avant votre sortie de l'hôpital ou de la clinique. Conservez ce document avec soin et montrez-le à votre médecin traitant. Il en a besoin pour assurer votre suivi médical. Il est utile de faire inscrire ce traitement sur votre carnet de santé et d'informer votre médecin traitant de vos changements de domicile ou de lieu de traitement. Votre médecin est à votre disposition pour répondre aux questions que vous vous posez. N'hésitez pas à en parler avec lui |
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